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Guillaume Beaulac lance son premier album

Guillaume Beaulac lance son premier album 1024 1024 Les Disques Passeport

Cela faisait longtemps que Guillaume Beaulac avait l’envie et le besoin de sortir ce premier album. Après de nombreux détours, voilà qu’il est fin prêt à lancer dans le monde dix chansons d’une musicalité désarmante. Excellent guitariste, orfèvre de textures sonores, l’auteur-compositeur-interprète nous présente un univers étonnamment mature et équilibré pour un premier album. Du folk au rock, au blues et à la pop, la voix et les guitares de Guillaume Beaulac tissent une toile d’une rare cohérence sous une plume intime et sincère.

Finesse et cohésion
D’entrée de jeu, la voix chaude et rauque de Guillaume Beaulac nous prend de court avec « Son bois », où la prise de son et la proximité sonore nous laissent déjà présager un album d’exception. « Nos détours », « Le jour se lève » et « Un peu encore », avec ses lignes d’harmonica nostalgiques, viennent rapidement confirmer l’habileté du musicien à lier ses mélodies accrocheuses et ses paroles. On flirte ensuite avec une approche plus rock où la guitare électrique ponctue juste comme il faut l’irrésistible « Julia », qui n’est pas sans rappeler les meilleures années de Mark Knopfler. En plus de la grande qualité des arrangements et de la réalisation, faite à distance en collaboration avec André Leclair (Jean-Pierre Ferland, Mélissa Bédard), on est aussi séduits par les textes simples et touchants de « Du blanc dans ton noir » ou encore de « Ces yeux d’enfants », une ballade folk-country qui nous raconte comment devenir un père quand on n’a pas reçu grand-chose du sien. Avec « C’est pas beau », un blues coloré par de multiples lignes de guitares, on aime se rappeler que c’est Guillaume Beaulac qui a joué et enregistré chez lui toutes les guitares, la basse et la plupart des instrumentations de batterie. On peut d’ailleurs en apprécier les nuances sur « Chanson utopique », où la mandoline est aussi à l’honneur. L’album se termine en douceur avec « Virtuose des overdoses », une ballade ambiante où la richesse des guitares soutient les envolées vocales du chanteur, qui interprète ici un magnifique texte de Mélanie Noël.

Tout au long de l’album, la facture sonore nous rappelle à la fois Daniel Lanois et Bruce Springsteen. Autant d’artistes qui inspirent Guillaume Beaulac à offrir des chansons inspirantes et travaillées à la manière d’un ébéniste qui, pièce par pièce, fabrique un meuble solide et raffiné. S’il est étonnant que cet artiste accompli ne soit pas sorti plus tôt de sa tanière, il ne sera pas surprenant de le voir de plus en plus sur la place publique. Son album éponyme sera disponible sur toutes les plateformes numériques dès mai 2021.  

Qui est Guillaume Beaulac ?
Natif de Nicolet, Guillaume Beaulac est multi-instrumentiste et ébéniste. Après un début de carrière dans le blues, il participe en 2009 au Festival de la chanson de Petite-Vallée où il reçoit le premier prix dans la catégorie auteur-compositeur, entre autres. Il atteint également la finale du Festival de la chanson de Granby en 2010. Les occasions se multiplient pour lui et il accompagne nul autre que Shawn Phillips en tournée. En plus d’être chansonnier ici et là, il devient musicien et chanteur de studio pour les réalisateurs Michel Pépin (Stevie Nicks, Emmylou Harris) et André Leclair. C’est en présentant ses chansons à André Leclair que ce dernier accepte sans hésiter de collaborer sur le projet d’un tout premier album sous l’étiquette des Disques Passeport.

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